Environs 80 jeunes étudiants
des institutions universitaires confondues de la ville de Goma ont été
sensibilisés sur les Violences
Sexuelles Basées Sur les Genres, ses conséquences
graves sur des arrangements à l’amiable.
Selon les organisateurs, l’objectif est d’arriver à
faire Comprendre les étudiants des différentes
institutions Universitaires de Goma, les méfaits
des arrangements à l’amiable en
cas des violences sexuelles basées sur
les genres afin de réduire leurs impacts négatifs. En effet cette catégorie de
la couche sociale a été appelée à la mobilisation sociale pour mettre fin avec cette pratique qualifiée des mauvaises dans
leurs milieux de vie.
« Sachant
que les étudiants sont l’avenir de
demain et la force d’aujourd’hui, ils
sont des femmes et hommes écoutés par d’autres
couches sociales de notre ville, pour cela, nous sommes convaincus qu’au
travers eux, notre message doit passer » a précisé Karpat TULINABO
interrogé par congosynthese.com
Ce dernier a ajouté que ces messages peuvent apporter par un
changement positif par rapport à l’objectif de ce projet. Cet acteur social soutient que les violences sexuelles
sont actuellement partout dans la ville de Goma notamment les harcèlements sexuels, les attouchements sexuels, les
menaces… et ceux-ci se produisent dans tous les milieux sans exception.
Particulièrement leur cible, les étudiants qui seraient confrontés de beaucoup
des réalités sociales. Tout ceux-là, les poussent à croire que, le milieu estudiantin
est idéal pour un changement positif de
comportement auquel ils s’attendent.
Pour maître Liévin Mivumba, avocat au barreau de
Goma a montrer que cette formation axée sur la valeur de l’arrangement à l’amiable
en matière des violences sexuelles, révèle que la loi sur la procédure pénale interdit
cet arrangement, il donne plus d’éclaircis
«
la raison d’interdiction en matière des violences sexuelles, une forme d’atteinte à l’intégrité humaine , elles touchent à ce qui est de précieux
à l’homme notamment le viol, c’est pourquoi , on ne peut pas
s’y imaginer qu’un OPJ ou un magistrat , Avocat ou autorité locale procédé à un quelconque arrangement à l’amiable car
interdit » explique-t-il et d’ajouter
que la vie sexuelle fait partie des valeurs sociétales , c’est pour quoi ,
l’état congolais interdit certains actes
comme les violences sexuelles. Pour ceci, un riche ne peut pas influencer la justice en cas de violences
sexuelles dans le but de recouvrer sa liberté.
Quelques étudiants les
participants interrogés par congoysnthese.com ont été satisfait des
explications qui selon eux, viennent d’enrichir leur bagage intellectuel en matière des violences
sexuelles basées sur les genres.
« Je suis émise des riches
explications sur les violences sexuelles et nous énumérer selon l’actuelle loi
du code de la famille datant de 2009, avec la clé, les sortes des violences sexuelles et des exemples à
l’appui » précise Nzanabo Benedict étudiante à l’université de Goma.
Signalons que cette séance de sensibilisation a été
organisé par plusieurs regroupements des
ONG notamment : ADEC /DDH
–RDC, UP DDHE-GL, Freedom House dans le cadre de la sensibilisation éducative.
Justin
KABUMBA.correspondant.congosynthese.com
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