mercredi 25 avril 2018

La problématique du professionnalisme dans le traitement des informations par les medias de Goma cas des Radios KIVU1 RTNC EMMANUEL et RTGB

CHAPITRE PREMIER : GENERALITES  THEORIQUES ET ESSAI DE CLARIFICATION CONCEPTUELLE

I.1.DEFIINITION DES CONCEPTS

Le concept est une représentation intellectuelle une définition de caractère d’un projet, d’un produit par rapport  à l’objectif  visé.
ü  Problématique : un ensemble des questions qu’une science ou une philosophie ;[1]
ü  Traitement : c’est une manière d’accueillir une personne d’agir avec elle.[2]
ü  Informations : c’est une action d’informer, de s’informer .Donc c’est un acte judicaire qui consiste à accueillir les dispositions des témoins en matière criminelle,[3]
ü  Medias : c’est un moyen de communication  et de diffusion d’informations (presse, cinéma, journal, télévision, radio, etc.[4]. …).

I.2.THEORIE SUR LE SUJET

La grande préoccupation de notre étude est la problématique du professionnalisme dans le traitement des informations par les medias de Goma cas de quelques radios ciblées, En effet, au fil des décennies, l'accent a souvent été mis sur l'avènement d'une nouvelle société marquée par les nouvelles technologies de l'information et de la communication.
Au fait tous actuellement veulent entrer dans la danse et être admis dans la nouvelle société, la problématique du professionnalisme dans le traitement des informations par les medias de Goma les investigations montre qu’à Goma les gens n’ont pas encore cette culture de medias. Et Le journaliste ne veut en aucun cas être banni de cette société, recourant à ces technologies et techniques innovantes, il veut perfectionner son métier mais avec bien de conséquences que cela impliquent ; parlons un peu de quelques rôles et fonctionnement des medias[5]
Ø  Rôle et fonctionnement des medias dans la vie société de Goma
Le droit à l'information, à la liberté d'expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain, c'est de ce droit du public à connaitre les faits et les opinions  et devoirs de journalistes ,  d'où le droit à l'information permet de passer le point de vue individualiste, afin de proposer une conception institutionnelle du rôle de medias dans la société moderne.
Les medias comme tel se voient reconnaitre une responsabilité propre distincte de celle qui incombe aux journalistes.
Les medias se doivent d’informer les citoyens sur ce qu'ils peuvent entendre et ce que la société attend d'eux  dans le cadre professionnel Ce devoir des médias comme nous pouvons le voir, crée en contrepartie une obligation. Le citoyen a un devoir moral d'être informé, de ce qui fait partie de sa responsabilité à l'égard de la communauté politique. La visée de l'information consiste à faire connaitre au citoyen ce qui se passe ou ce qui est certain de se passer dans le monde de la vie ici dans le même espace ou ailleurs, dans un autre espace.
Là où les médias congolais plus particulièrement ceux de Goma ne peuvent pas bien couvrir les conflits avec la mondialisation de l'information, les médias étrangers arrivent à le faire. Mais le comble à signaler est que chaque média défend une idéologie. Ainsi, il peut traiter l'information dans le sens de déstabilisation. L'exemple de la suspension récente de la RFI par le gouvernement congolais qui reproche à la station internationale d'avoir propagé des propos de déstabilisation contre l'armée congolaise.
Enfin, les médias jouent un rôle majeur dans la société comme nous l'avons souligné ci-haut. Considérés de gardiens, ils jouent peut être moins frappant un rôle d'arbitre
Ø  Quelques procédures méthodologiques de l’information
La production d'une nouvelle comporte plusieurs étapes. Il n'en faut négliger aucune, sous peine d'obtenir un texte de qualité douteuse. Nous retenons ces étapes ci-après comme faisant partie de la procédure générale de l'information :
ü  Collecte de l'information
Collecter des informations c'est l'étape du ramassage, de la cueillette, de la recherche des informations. Au cours de cette étape, le journaliste reçoit les informations soit par les agences de presse, soit par la descente sur terrain, soit par différentes stations et d'autres informateurs. Au cours de cette période, le journaliste recourt à de nombreuses sources, à plusieurs points de vue différents afin d'approcher la vérité. Le journalisme allie l'exactitude et l'équité, fondées sur la recherche exhaustive qui éclaire les événements et les problèmes.
Les gens de presse conscients de leurs responsabilités s'attachent à comprendre les questions et les événements au-delà des apparences, afin de les expliquer clairement à leurs lecteurs.
Pour ce faire, ils doivent utiliser le plus possible des sources documentaires incontestables, vérifier toutes les informations, chercher des sources contradictoires
La collecte et la vérification de l'information constituent le premier moment et le fondement du travail journalistique. Il s'agit de s'informer pour pouvoir ensuite informer, de savoir afin de faire savoir. Ce travail personnel du journaliste-aller chercher l'information et ne pas se contenter de ce qu'il reçoit-est, au cœur de la valeur ajoutée qu'il produit
Pour pouvoir informer avec compétence, le journaliste identifiera les sujets valables, il interrogera ces sources et les vérifiera systématiquement.
ü  Choix et sélection de l'information
Collecter des informations c'est l'étape du ramassage, de la cueillette, de la recherche des informations. Au cours de cette étape, le journaliste reçoit les informations soit par les agences de presse, soit par la descente sur terrain, soit par différentes stations et d'autres informateurs.
Au cours de cette période, le journaliste recourt à de nombreuses sources, à plusieurs points de vue différents afin d'approcher la vérité. Le journalisme allie l'exactitude et l'équité, fondées sur la recherche exhaustive qui éclaire les événements et les problèmes.
A la cueillette de l'information, on entend d'abord comme nous le conseille Ross « tendre à l'objectivité-neutralité-impartialité, s'efforcer d'abord sans préjugés, ou en faisant autant que possible abstraction de ses préjugés, les différentes versions, positions, explications ou rationalisations des acteurs sociaux. Il s'agit d'écouter tous les sons de cloche, d'essayer toutes les lorgnettes, de rendre des comptes aussi objectifs, c'est-à-dire honnêtes, que possible.
Les gens de presse conscients de leurs responsabilités s'attachent à comprendre les questions et les événements au-delà des apparences, afin de les expliquer clairement à leurs lecteurs.
Pour ce faire, ils doivent utiliser le plus possible des sources documentaires incontestables, vérifier toutes les informations, chercher des sources contradictoires.
La collecte et la vérification de l'information constituent le premier moment et le fondement du travail journalistique. Il s'agit de s'informer pour pouvoir ensuite informer, de savoir afin de faire savoir. Ce travail personnel du journaliste-aller chercher l'information et ne pas se contenter de ce qu'il reçoit-est, au cœur de la valeur ajoutée qu'il produit
Pour pouvoir informer avec compétence, le journaliste identifiera les sujets valables, il interrogera ces sources et les vérifiera systématiquement.
Les informations que le journaliste reçoit dans la phase de collecte sont nombreuses. Choisir les informations dans un déluge de dépêches pour en faire une synthèse sélective voilà le rôle du journaliste. Pour maitriser ce flot, il convient d'y mettre un peu d'ordre
A cette étape, il faut certes se poser une question : quelle est la meilleure sélection d'information ? Cette question se pose dans tous les journaux du monde. On le sait, il n'existe pas de réponse à cette question, et certainement pas de réponse universelle. Les critères varient en fonction des besoins des sociétés et des pays. Encore que la couverture de presse d'un événement varie assez peu d'un auteur à l'autre et même d'une entreprise de presse à l'autre.
ü  Traitement de l'information
On le sait déjà, le journaliste est un intermédiaire entre les faits, qu'il obtient auprès de sources d'information, et le public, c'est-à-dire les lecteurs ou auditeurs, qui reçoivent les messages sous forme de nouvelles. C'est envers ce public que le journaliste est, par obligation professionnelle, redevable
Ces faits qu'il obtient auprès de plusieurs sources doivent être retravaillé afin de donner une forme adaptée et mise au service du lecteur. Traiter l'information c'est d'abord choisir ce qui intéresse le public, dans un torrent de faits et de sollicitation. C'est dire que le journalisme soupèse la valeur de ces informations potentielles à l'aide d'une méthode  particulière.
Ainsi donc, le traitement de l'information doit se référer à « la loi des w » selon que la presse anglo-saxonne l'a baptisée : Why ? Where ? When ? Who ? Ces questions sont chez les français les questions cardinales : Où ? Quand ? Qui ? Pourquoi ? Aujourd'hui, une information publiable est celle qui se prête à cette obligatoire autopsie. Elle devient alors un fait, digne d'être communiqué, Le traitement de l'information doit se faire avec rigueur de façon à rendre l'événement cohérent. A ce sujet Laga dette nous éclaire en disant : « le style journalistique, c'est surtout rendre compréhensible, rapidement et par le plus grand nombre, le sens d'une information, en faisant ressortir l'essentiel immédiatement, en donnant tout d'emblée
Le traitement de l'information est un travail réalisé dans la collégialité c'est-à-dire de toute l'équipe rédactionnelle. Pour réaliser ce travail avec professionnalisme il faut une certaine stratégie.
Le droit à l'information, à la liberté d'expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain, c'est de ce droit du public à connaitre les faits et les opinions procède l'ensemble des devoirs de journalistes » d'où le droit à l'information permet de passer le point de vue individualiste, afin de proposer une conception institutionnelle du rôle de medias dans la société moderne.[6]
Les medias comme tel se voient reconnaitre une responsabilité propre distincte de celle qui incombe aux journalistes. Les  medias se doivent informer les citoyens sur ce qu'ils peuvent entendre et ce que la société attend d'eux. Ce devoir des médias comme nous pouvons les voir, crée en contrepartie une obligation. Le citoyen a un devoir moral d'être informé, qui fait partie de sa responsabilité à l'égard de la communauté politique.
La visée de l'information consiste à faire connaitre au citoyen ce qui se passe ou ce qui est certain de se passer dans le monde de la vie ici dans le même espace ou ailleurs, dans un autre espace. L'instance médiatique tente de réaliser cette visée en mettant en œuvre deux types d'activités langagières.
« La description, puisqu'il s'agit de rapporter les faits du monde, et ensuite l'explication, puisqu'il s'agit d'éclairer les destinateurs de l'information sur les conséquences de l'événement 
ü  Fonction des médias
Les médias répondent à des attentes spécifiques de l'homme ; Ils apportent ou non des satisfactions, grandes ou petites à leurs usagers. A un sens plus large ils assurent auprès du public certain, fonctions dont il convient à la visée apparente et la signification ultime.
Avant cette convention des études menées sur les médias à examiner de leurs fonctions réelles ou officielles patentes ou latentes, plusieurs travaux ont annoncé la dénonciation du schéma linéaire et behavioriste des effets au premier rang parmi eux deux essais font figure de précurseur. Toute institution sociale exerce à côté d'une fonction centrale et pour aussi dire officielle, un certain nombre des fonctions latérales et imprévues, heureuses ou malheureuses dont il convient.[7]

ü      Les médias comme moyen de sociabilité
La presse est pourvoyeuse, privilégiée des nouvelles. A ce titre elle favorise l'invention et l'insertion de l'individu dans son groupe. Elle lui donne les instruments et lui prévient de l'avenir. Ce rôle se confond avec celle de la fonction officielle de la presse.[8] Dispenser l'information, les événements rapportés par le journal permet et symbolisent l'appartenance de chacun à son groupe. Comme le notera plus tard BARELSON l'homme d'aujourd'hui sait ce qui se passe autour de lui ; grâce à la presse et aux médias, il acquiert même le sentiment d'être dans un secret ou dans un coup, et il en tire nécessairement un prestige accru, nous pouvons souligner le rôle du carnet du jour. Elle est une guide sociale de la vie.
Nous devons le reconnaitre que ce n'est pas seulement le souci d'être informé que le public se met souvent à écouter des nouvelles, car les émissions d'information n'évitent pas les répétitions. Mais les auditeurs veulent en permanence garder un contact avec leur communauté d'appartenance, confuses, ils restent la nécessité d'attester ainsi d'intérêt qu'ils lui apportent.
ü  La presse comme recréation
La radio, le cinéma ou le théâtre sont admis de plein droit dans le monde des loisirs modernes. Mais on oublie souvent la fonction de recréation assumée par la presse écrite. C'est pourtant le public lui-même qui affirme tenir la lecture du journal pour une activité de loisir, les abstentionnistes l'avouent lorsqu'ils invoquent le manque de temps. Ils sous-entendent en effet que la lecture du journal est une activité subsidiaire sinon futile. En outre, le moment choisi pour la lecture du journal correspond très souvent avec des moments de repos : ceux qui précèdent ou suivent immédiatement les repos, à moins qu'il ne s'agisse plus simplement de la soirée.
Bien plus, la lecture du journal n'est recherchée comme une distraction aussi bien dans les transports que dans les salles d'attente. Les responsables des journaux peuvent ne pas répondre à cette attente du public. Ils multiplient les rubriques concernant la vie des loisirs.
Bref parlons un peu de quelques  rôles,  donc les rôles des médias sont multiples. J'ai choisi d'utiliser les quatre rôles proposés par Kaarla  Nordenstreng soit la collaboration, la surveillance, le rôle de facilitateur et de critique.

1)    Collaboration
Les médias jouent ce rôle lorsque la nation est jeune et insécurisée (temps de guerre ou état d'urgence par exemple). Ils permettent un échange dans l'espace publique entre les différents agents étatiques et sociaux. Cet échange est possible seulement si la population a accès aux médias. Cependant, les médias peuvent jouer un rôle de formation politique important dans le pays ; « les médias, en coordination avec les autres instances de régulation et d'autorégulation constituent une voie incontournable d'éducation, de formation (de l'opinion) et d'information de la population
2)     Surveillance
Ce rôle fait référence à l'idée généralisée que « les médias jouent un rôle dans la démocratisation car ils sont le quatrième pouvoir et ont un rôle « AWA », c'est-à-dire adversary, watchdog et agenda-setter . Les médias ont le devoir de décrier les violations de l'ordre moral et social et d'attirer l'attention sur des enjeux importants [9] communautés. Cependant, « dénoncer, exercer la fonction indépendante et critique est certes une mission de la presse mais cette dernière devra accepter aussi à son tour d'être critiquée ». Si le rôle des médias est de surveiller et dénoncer les situations de corruption, ils peuvent aider à la solidification du système démocratique par la même occasion. Avec une plus grande liberté, les médias de masse peuvent jouer leur rôle de surveillance afin de décourager et contrer la corruption. Les conflits ont nourri le besoin d'information des populations locales. Ce qui est intéressant, c'est que la prolifération des médias s'est produite lors de la transition et des élections, mais que ces mêmes médias ne survivent pas à la suite de ces moments clé dans la période post conflit en RDC. Ce sont pourtant des moments décisifs où la presse peut jouer un rôle de surveillance afin que l'État fragile ne retombe pas dans une situation d'instabilité.
3)    Facilitateur
Lorsque les journalistes veulent créer et soutenir un débat dans l'espace public, ils jouent leur rôle de facilitateur ou médiateur. Il s'agit de l'essence même du mouvement du journalisme public et civique. Les médias doivent par ce rôle affirme Nkingi développer une culture de la tolérance. Pour favoriser l'acceptation de l'autre, aucun triomphalisme offensant ne doit être accepté, et les perdants doivent accepter les résultats. En République démocratique du Congo, la radio Okapi a largement joué ce rôle depuis sa création en donnant la parole aux populations locales.
4)    Critique
Les médias doivent examiner et critiquer les gouvernements au pouvoir, les institutions étatiques afin de s'assurer d'une bonne gouvernance.
Les médias ont pour rôle d'informer le public sur les problèmes domestiques et internationaux. Wolfsled souligne « l'importance de la présence d'un grand nombre de médias alternatifs qui permet aux journalistes de consulter une variée de sources d'information et augmente leur habilité d'analyser le système politique domestique.» Bref, les médias ont plusieurs rôles à jouer afin de veiller au bien commun en collaborant, surveillant, facilitant et critiquant les gouvernements.[10]
Les médias peuvent non seulement aider à trouver un compromis mais également renforcer les positions les plus extrémistes qui peuvent mener à des actions violentes.
Permettre une liberté de presse complète dans un État fragile peut être un lieu propice pour la naissance de médias de haine. Wolfsled va dans le même sens lorsqu'il explique que lorsqu'il y a « des tensions et divisions importantes au sein d'une société, les médias vont mettre l'accent sur ces différences et peuvent marginaliser ceux qui sont en désaccord avec le courant de pensée populaire. S'il est certain qu'un journaliste professionnel, respectueux des règles d'équilibre de l'information, ainsi que celle de la vérification et de recoupement des sources, peut aider à apaiser des tensions souvent entachées d'incompréhension et sous information entre acteurs, une question se pose : « le journaliste peut-il ou doit-il aller loin en orientant volontairement sa pratique professionnelle vers une démarche de soutien aux initiatives de paix ; Malgré cette volonté que pouvait manifester un professionnel dans l'orientation de son travail.[11]



CHAPITRE DEUXIEME : ENVIRONNEMENT MEDIATIQUE DANS  LA VILLE  DE GOMA


2.1. Historique et dénomination des quelques medias de Goma

Medias
Localisation
Historique
RTGB Goma[12]
La RTGB est située en République Démocratique du Congo, dans la Province du Nord-Kivu précisément dans la ville de Goma, dans la Commune de KARISIMBI au quartier Virunga sur le boulevard Nyiragongo au numéro 126.
-        Au Nord est limitée par la route qui mène vers station Mutinga
-        Au Sud par le Marché VIRUNGA
-        A l’Est par l’hôpital CBCA VIRUNGA
-        A l’Ouest par  l’hôpital CBCA Virunga
La Radiotélévision graben station de GOMA a comme adresse email : rtgraben@yahoo.fr
Statut juridique
La RTGB est une radio communautaire qui appartient à une association sans but lucratif (asbl) dénommée GRABEN

La RTGB a été créée en 2003 à Beni mais dans la ville de Goma, la RTGB a commencé à diffuser le 22 décembre 2010, à la station Victoire aux trois paillotes. En 2013 au mois de Novembre,  elle a  déménagée pour aller s’installer sur l’avenue Kinshasa au numéro 66 dans le quartier Mabanga Sud.
La Radio est tombée en panne au mois de Décembre 2013. Sa réparation a durée d’une année ; la radio n’était pas fonctionnelle en 2014. La RTGB GOMA est une extension de la RTGB Beni, son siège social se trouve à Beni.
A Goma, la RTGB a diffusé la première fois sur 98.0 FM avant la 91.0FM  et actuellement la 103.0MhZ.

Kivu1[13]
La radio kivu1 se trouve dans la ville de Goma commune de KARISIMBI quartier  les volcans dans le bâtiment Jean-Pierre BISHWEKA
Avec  objectifs d’informer la population, éduquer à travers ses informations diffusées après un quart d’heure avec un système d’une radio a regardée et la télévision à écoutée
La radio KIVU 1 ‘est une radio   privée, indépendante d’information générale en continue manque dans la province. Le contact entre gouvernants et gouvernés par voix des médias est inexistant. son directeur général et fondateur de la radio c’est monsieur MAGLOIRE PALUKU, la radio kivu1 Inciter un professionnalisme dans le métier au niveau provincial en travaillant 7 heures par jour.
Une radio qui se veut « Le relais » entre la population et ses autorités.
Production des émissions et magazines pour une formation, l’éducation et le divertissement est à redéfinir dans les maisons des radios.
RTCT[14]
LA RTCT se trouve à Goma en province du Nord-Kivu, Q. les volcans, AV .présidentielle, N°13 EN RDC.
La RTCT est limitée :
-      Au nord : par le rond-point de l’Espoir
-      Au sud : par l’école belge
-      A l’Est :bcc
-      Ouest : par Q.mapendo
La RTCT appartient à l’ONG TCCB reconnu officiellement par le décret présidentiel N° 06/0106 du 12 JUIN 2016.
OBJECTIFS :
ü  Former et informer ma population sur l’environnement,
ü  transformer les informations et les communiqués aux auditeurs
ü  promouvoir la santé communauté pour les biens être de la population, animer sur le développement, livrer les informations globale.


LA RTCT appartient à UTCCB (tayna center for conservation Biogi) dans son programme  d’éducation et de développement, le TCCB est créé en 2004. La RTCT  celle-ci fonctionnait avec une seul station de KASUGHO  ou le premier signal a été émis le 06/09/2004 la radio fonctionnait avec la fréquence de 102.0MHZ accorder par le service public de l’OCPT pour l’iniateur l’idée était de mettre en œuvre un laboratoire pour ses étudiants de science de la communication déjà au TCCB et d’accompagner par la sensibilisation de masse les efforts de la conservation d’employé par RGT(réserve de gorille de Tayna) l’iniative à rencontrer les préoccupations de la populations de son rayon d’action (KASUGHO BINGI TAYNA  MANGURUJIPA KITWA BUSHISHA,MAVUNGU) toutes les Localités repartaient aux chefferies de bamate et batangi qui trouvent en cette radio un moyen de communication et d’expression de toutes personnes même le moins enthousiaste de la société.
EN 2009, le conseil d’administration TCCB décide d’étendre les activités de la RTCT dans  ville de OMA est un carrefour des aires protégées par national Virunga de kahuzibiega, la dizaine de réserve communautaire est rendu par l’UGADEC et exercent une certaine pression .
Il est de ce fait impérieux que les habitants de cette ville reçoivent une éducation environnement .en 2010 les ambitions d’exploiter ont été réalisé un émetteur TV a été installé protégé et les premières images sont apparues le 25 juin 2010
HOPE CHANNEL Tv[15]
HOPE CHANNEL  Se trouve en Afrique dans la partie Est de la RDC  En province du NORD KIVU, ville de GOMA, commune de KARISIMBI, Q.MURARA ; elle émet sur la bande VHF à la fréquence de 190.28 MHZ, HOPE CHANNEL a entamé ses activités avec la télévision.
Ø  Missions de HC : comme d’autres medias  HC à une mission d’informer, divertir et enseigner le public pas seulement de GOMA de ruthuru , masisi et pourquoi de GISENYI de l’ouest du Rwanda.
Spécifiquement de donner l’espoir aux population surtout celles de l’Est de la RDC en leur offrant un espace de communication interactive partant de contexte de crises multiples qui ont secoué la partie EST de la RDC,HC se joint à celle-ci pour donner de l’espoir dans des populations meurtries par les offres de la guerre.
HOPE CHANNEL TV lance son signale le 30 juin 2012  Hope chanel tv est un projet de la fondation KAS dont c’est le premier projet dirigé par Deo KASIBAGUIZA DG  de HOPE CHANNEL TV, cette chaine de télévision commence dans le bâtiment de l’hôtel RUSINE en octobre 2012 Actuellement longe dans le bâtiment 3 ETOILES. Cette chaine ne date pas longtemps elle est une télévision nouvellement créée dans la ville de GOMA elle est l’ouvre de Monsieur Theo KASI qui est un bienfaiteur et fils du terroir ayant compris le besoin de la population être informé et être rapproché de se gouvernants.
HOPE CHANNEL commence d’abord par la formation des agents à partir du mois de février jusqu’au mois de 2012 elle émet depuis le 30 juin l’ouverture officielle.
VBR FM[16]
La vbr œuvre en RDC dans la province du Nord Kivu, ville de Goma, commune de KARISIMBI au numéro n°1 avenue BISHWEKA Vanny dans l’immeuble IHUSI.
Objectifs :
·         Promouvoir les affaires et activités de développement dans le cadre de l’intégration régionale du pays des grands lacs,
·         Servir de hait d’union entre les opérateurs économiques  de la région de grands lacs,
·         Et puis informer, former, éduquer, et divertir.

VBR FM est une radio privée commerciale créée en 2010 a ses débuts à part le directeur général elle comptait 7 journalistes  avec un personnel de 17 membres.
Le promoteur de vbr Fm est monsieur Thomas KUBUYA , notons que vbr est une branche de Kivu business tours agency ,une agence de vente des services spécialisés dans la publicité et marketing ,le voyage et l’écotourisme ainsi que les nettoyages et louage du personnel.
Apres 3ans d’existence le besoins d’avoir une radio d’abord puis plus tard une télévision s’est fait sentir ces outils indispensables devant servir à renforcer la section publicités et mase de l’entreprise c’est dans ce contexte que le profit de la station radio et la télévision est né
MISHAPI VOICE TV[17]
L’organe de presse MISHAPI VOICE TV est situé en RDC  province du Nord KIVU, ville de Goma, commune de KARISIMBI, Q.MURARA sur l’avenue du coopératif N°45, le groupe à des objectifs :
·         Global : le groupe mishapi se veut une vision dans le monde, cela veut tout simplement dire montrer à travers ces programmes l’image de l’Afrique aux jeux du monde.
·         Spécifique :
-      Contribuer au développement du pays par l’octroi de l’emploi à une jeunesse des ouvrées
-      Faire de l’information une donnée pertinente, susceptible d’inciter l’autorité publique à prendre ou modifier une décision
-      Favoriser la paix et la cohabitation.
-      Et puis comme d’autres medias, informer, former, éduquer, et divertir.
En octobre  2010, l’initiative de création de cette entreprise  de presse nait de Monsieur Adelard MINENE qui décide au même mois de la même année d’implanter une station radio émettant sur onde FM à la 104.5MHZ, Sept mois seulement plus tard le promoteur précité dote  MISHAPI VOICE TV  d’une nouvelle entité une chaine de télévision aujourd’hui l’unique qui émet sur bande VHF qui se conforme à la mutation de l’analogie au numérique à l’horizon 2020.
Au départ locataire MISHAPI VOICE TV a su vite se doter de ses propres locaux  par l’entreprise de son initiateur Mr adellard MINENE pierre implanté dans un contexte post conflit cet outil de communication aura pour mission principale       rapprochement des peuples , la cohabitation pacifique par l’octroi des espaces d’expression à tous les protagonistes aux conflits afin de les inciter à concilier les nouvelles qui les opposaient.
En 2012  au lendemain des élections de novembre le groupe de presse mishapi est plébiscité première chaine d’information à l’Est du Congo par canal France internationale pour l’acter action de ses programmes (informations, émissions, interactive, micro, programme de proximité, divertissement) cette série de programme de plébiscité sera corroboré par l’institut PANOS  PARIS, UJADEPE RICA, USUJA, pour ne citer que ces organisations.
Le groupe de presse mishapi dispose d’un forte de couverture avec des sous station à KINSHASA, BUKAVU, KINDU, KISANGANI dont les rédactions et services commerciaux dépend directement de l’administration directeur général.
La chaine a connu une ascension grâce à un personnel des journalistes qualifié qui ont su maintenir le positionnement de mishapi  Voice Tv en dépit de la qui ont su maintenir le positionnement.
L’initiateur du groupe mishapi a suivi le parcours ci-après : le groupe de mishapi est une entreprise privée à caractère commercial né de l’initiative de son promoteur dont les initiales des noms ont grandement  contribué à l’appellation de MISHAPI il s’agit de monsieur  adellard MINENE SHANYAGABO PIERRE  père en tant que fondateur il est l’administrateur directeur General de l’entreprise.
Le problème de guerre intensive , la crise économique rongeant l’Est de la RDC ont plus motivé le promoteur à mettre au service de la population outil de la communication qui contribuerait à l’éclosion socio-économique de peules à la promotion de la paix à la culture de la démocratie ainsi qu’à l’émancipation des populations opprimées , bref transformer l’image de la RDC et du Nord-Kivu en particulier.
Avoir parcourue  dans toutes ces radios de Goma on a constaté que chaque radio est suivie selon le programme de chacune, coté information on a vu que la radio privée kivu1 est la radio la plus suivie et écoutée avec leurs chaine de télévision, coté divertissement la radio tayna elle est la radio beaucoup plus suivie.

CONCLUSION PARTIELLE

Dans ce deuxième chapitre c’était une question pour nous de détailler les dénominations et l’historique de quelques radios de la ville de Goma, ainsi que leurs objectifs.





[1] Dictionnaire la rousse française, ed.2010
[2] Idem
[3] Idem
[4] Idem
[5] Bernard Miège,  « l'imposition d'un syntagme : La société de l'information 

[6] D. ELLIOT(dir) Responsible journalist, Beverly, Hills, New bury Park, London, New Dehli, sage 2è ed, 1998 pg 7
[7] BALLE F, Op-cit , pg 69
[8]  Francis BALLE, Medias et société, presse audiovisuelle, télécommunication et internet, 11è éd., Paris, Montchrestien, 2003, p 657.

[9] NORDENSTRENG, Kaarle (1997). « Beyond the Four Theories of the Press»,
in NETHERLANDS, Jan. Media and Politics in Transition, Servaes & Rico Lie (eds) , p. 97-109.
[10] WOLFSFELD, Gadi (2008). « The Role of the News Media
in Peace Negociations : variations overtime and Circumstance », in
Contemporay Peacemaking
[11] Marie Soleil Frère, Op. cit., 2005, p10.

[12] Rtgb Goma, archive 2013 ,p.7
[13] www.radiokivu1.org
[14] Rtct ,rapport de stage ,2015,P8
[15] HOPE Channel, rapport de stage,2015,P.8
[16] VBR ; archive ;2013 ;P.6
[17] Mishapi voice Tv , Rappot de stage ,2014,P.8