Le concept est une
représentation intellectuelle une définition de caractère d’un projet, d’un
produit par rapport à l’objectif visé.
ü Problématique : un
ensemble des questions qu’une science ou une philosophie ;
ü Traitement : c’est
une manière d’accueillir une personne d’agir avec elle.
ü Informations :
c’est une action d’informer, de s’informer .Donc c’est un acte judicaire
qui consiste à accueillir les dispositions des témoins en matière criminelle,
ü Medias : c’est un
moyen de communication et de diffusion
d’informations (presse, cinéma, journal, télévision, radio, etc.. …).
La grande préoccupation de
notre étude est la problématique du professionnalisme dans le traitement des
informations par les medias de Goma cas de quelques radios ciblées, En effet,
au fil des décennies, l'accent a souvent été mis sur l'avènement d'une nouvelle
société marquée par les nouvelles technologies de l'information et de la communication.
Au fait tous actuellement veulent entrer dans
la danse et être admis dans la nouvelle société, la problématique du
professionnalisme dans le traitement des informations par les medias de Goma
les investigations montre qu’à Goma les gens n’ont pas encore cette culture de
medias. Et Le journaliste ne veut en aucun cas être banni de cette société,
recourant à ces technologies et techniques innovantes, il veut perfectionner
son métier mais avec bien de conséquences que cela impliquent ; parlons un
peu de quelques rôles et fonctionnement des medias
Ø Rôle et fonctionnement des medias dans
la vie société de Goma
Le droit à l'information, à la liberté
d'expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être
humain, c'est de ce droit du public à connaitre les faits et les opinions et devoirs de journalistes , d'où le droit à l'information permet de
passer le point de vue individualiste, afin de proposer une conception
institutionnelle du rôle de medias dans la société moderne.
Les medias comme tel se voient reconnaitre
une responsabilité propre distincte de celle qui incombe aux journalistes.
Les medias se doivent
d’informer les citoyens sur ce qu'ils peuvent entendre et ce que la société
attend d'eux dans le cadre professionnel
Ce devoir des médias comme nous pouvons le voir, crée en contrepartie une
obligation. Le citoyen a un devoir moral d'être informé, de ce qui fait partie
de sa responsabilité à l'égard de la communauté politique. La visée de
l'information consiste à faire connaitre au citoyen ce qui se passe ou ce qui
est certain de se passer dans le monde de la vie ici dans le même espace ou
ailleurs, dans un autre espace.
Là où les médias congolais plus
particulièrement ceux de Goma ne peuvent pas bien couvrir les conflits avec la
mondialisation de l'information, les médias étrangers arrivent à le faire. Mais
le comble à signaler est que chaque média défend une idéologie. Ainsi, il peut
traiter l'information dans le sens de déstabilisation. L'exemple de la
suspension récente de la RFI par le gouvernement congolais qui reproche à la
station internationale d'avoir propagé des propos de déstabilisation contre
l'armée congolaise.
Enfin, les médias jouent un rôle majeur dans
la société comme nous l'avons souligné ci-haut. Considérés de gardiens, ils
jouent peut être moins frappant un rôle d'arbitre
Ø Quelques procédures méthodologiques de
l’information
La production d'une nouvelle comporte
plusieurs étapes. Il n'en faut négliger aucune, sous peine d'obtenir un texte
de qualité douteuse. Nous retenons ces étapes ci-après comme faisant partie de
la procédure générale de l'information :
ü Collecte de l'information
Collecter des informations c'est l'étape du
ramassage, de la cueillette, de la recherche des informations. Au cours de
cette étape, le journaliste reçoit les informations soit par les agences de
presse, soit par la descente sur terrain, soit par différentes stations et
d'autres informateurs. Au cours de cette période, le journaliste recourt à de
nombreuses sources, à plusieurs points de vue différents afin d'approcher la
vérité. Le journalisme allie l'exactitude et l'équité, fondées sur la recherche
exhaustive qui éclaire les événements et les problèmes.
Les gens de presse conscients de leurs
responsabilités s'attachent à comprendre les questions et les événements
au-delà des apparences, afin de les expliquer clairement à leurs lecteurs.
Pour ce faire, ils doivent utiliser le plus
possible des sources documentaires incontestables, vérifier toutes les
informations, chercher des sources contradictoires
La collecte et la vérification de
l'information constituent le premier moment et le fondement du travail
journalistique. Il s'agit de s'informer pour pouvoir ensuite informer, de
savoir afin de faire savoir. Ce travail personnel du journaliste-aller chercher
l'information et ne pas se contenter de ce qu'il reçoit-est, au cœur de la
valeur ajoutée qu'il produit
Pour pouvoir informer avec compétence, le
journaliste identifiera les sujets valables, il interrogera ces sources et les
vérifiera systématiquement.
ü Choix et sélection de l'information
Collecter des informations
c'est l'étape du ramassage, de la cueillette, de la recherche des informations.
Au cours de cette étape, le journaliste reçoit les informations soit par les
agences de presse, soit par la descente sur terrain, soit par différentes
stations et d'autres informateurs.
Au cours de cette période,
le journaliste recourt à de nombreuses sources, à plusieurs points de vue
différents afin d'approcher la vérité. Le journalisme allie l'exactitude et
l'équité, fondées sur la recherche exhaustive qui éclaire les événements et les
problèmes.
A la cueillette de l'information, on entend
d'abord comme nous le conseille Ross « tendre à
l'objectivité-neutralité-impartialité, s'efforcer d'abord sans préjugés, ou en
faisant autant que possible abstraction de ses préjugés, les différentes
versions, positions, explications ou rationalisations des acteurs sociaux. Il
s'agit d'écouter tous les sons de cloche, d'essayer toutes les lorgnettes, de
rendre des comptes aussi objectifs, c'est-à-dire honnêtes, que possible.
Les gens de presse
conscients de leurs responsabilités s'attachent à comprendre les questions et
les événements au-delà des apparences, afin de les expliquer clairement à leurs
lecteurs.
Pour ce faire, ils doivent utiliser le plus
possible des sources documentaires incontestables, vérifier toutes les
informations, chercher des sources contradictoires.
La collecte et la vérification de
l'information constituent le premier moment et le fondement du travail
journalistique. Il s'agit de s'informer pour pouvoir ensuite informer, de
savoir afin de faire savoir. Ce travail personnel du journaliste-aller chercher
l'information et ne pas se contenter de ce qu'il reçoit-est, au cœur de la
valeur ajoutée qu'il produit
Pour pouvoir informer avec compétence, le
journaliste identifiera les sujets valables, il interrogera ces sources et les
vérifiera systématiquement.
Les informations que le journaliste reçoit
dans la phase de collecte sont nombreuses. Choisir les informations dans un
déluge de dépêches pour en faire une synthèse sélective voilà le rôle du
journaliste. Pour maitriser ce flot, il convient d'y mettre un peu d'ordre
A cette étape, il faut certes se poser une
question : quelle est la meilleure sélection d'information ? Cette
question se pose dans tous les journaux du monde. On le sait, il n'existe pas
de réponse à cette question, et certainement pas de réponse universelle. Les
critères varient en fonction des besoins des sociétés et des pays. Encore que
la couverture de presse d'un événement varie assez peu d'un auteur à l'autre et
même d'une entreprise de presse à l'autre.
ü Traitement de l'information
On le sait déjà, le
journaliste est un intermédiaire entre les faits, qu'il obtient auprès de
sources d'information, et le public, c'est-à-dire les lecteurs ou auditeurs,
qui reçoivent les messages sous forme de nouvelles. C'est envers ce public que
le journaliste est, par obligation professionnelle, redevable
Ces faits qu'il obtient auprès de plusieurs sources
doivent être retravaillé afin de donner une forme adaptée et mise au service du
lecteur. Traiter l'information c'est d'abord choisir ce qui intéresse le
public, dans un torrent de faits et de sollicitation. C'est dire que le
journalisme soupèse la valeur de ces informations potentielles à l'aide d'une
méthode particulière.
Ainsi donc, le traitement de
l'information doit se référer à « la loi des w » selon que la presse
anglo-saxonne l'a baptisée : Why ? Where ? When ?
Who ? Ces questions sont chez les français les questions cardinales :
Où ? Quand ? Qui ? Pourquoi ? Aujourd'hui, une information
publiable est celle qui se prête à cette obligatoire autopsie. Elle devient
alors un fait, digne d'être communiqué, Le traitement de l'information doit se
faire avec rigueur de façon à rendre l'événement cohérent. A ce sujet Laga
dette nous éclaire en disant : « le style journalistique, c'est
surtout rendre compréhensible, rapidement et par le plus grand nombre, le sens
d'une information, en faisant ressortir l'essentiel immédiatement, en donnant
tout d'emblée
Le traitement de l'information est un travail
réalisé dans la collégialité c'est-à-dire de toute l'équipe rédactionnelle.
Pour réaliser ce travail avec professionnalisme il faut une certaine stratégie.
Le droit à l'information, à la liberté
d'expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être
humain, c'est de ce droit du public à connaitre les faits et les opinions
procède l'ensemble des devoirs de journalistes » d'où le droit à l'information
permet de passer le point de vue individualiste, afin de proposer une
conception institutionnelle du rôle de medias dans la société moderne.
Les medias comme tel se voient reconnaitre une responsabilité propre distincte
de celle qui incombe aux journalistes. Les
medias se doivent informer les citoyens sur ce qu'ils peuvent entendre
et ce que la société attend d'eux. Ce devoir des médias comme nous pouvons les
voir, crée en contrepartie une obligation. Le citoyen a un devoir moral d'être
informé, qui fait partie de sa responsabilité à l'égard de la communauté
politique.
La visée de l'information consiste à faire connaitre au citoyen ce qui se passe
ou ce qui est certain de se passer dans le monde de la vie ici dans le même
espace ou ailleurs, dans un autre espace. L'instance médiatique tente de
réaliser cette visée en mettant en œuvre deux types d'activités langagières.
« La description, puisqu'il s'agit de
rapporter les faits du monde, et ensuite l'explication, puisqu'il s'agit
d'éclairer les destinateurs de l'information sur les conséquences de
l'événement
ü Fonction des médias
Les médias répondent à des
attentes spécifiques de l'homme ; Ils apportent ou non des satisfactions,
grandes ou petites à leurs usagers. A un sens plus large ils assurent auprès du
public certain, fonctions dont il convient à la visée apparente et la
signification ultime.
Avant cette convention des études menées sur les médias à examiner de leurs
fonctions réelles ou officielles patentes ou latentes, plusieurs travaux ont annoncé
la dénonciation du schéma linéaire et behavioriste des effets au premier rang
parmi eux deux essais font figure de précurseur. Toute institution sociale
exerce à côté d'une fonction centrale et pour aussi dire officielle, un certain
nombre des fonctions latérales et imprévues, heureuses ou malheureuses dont il
convient.
ü Les médias comme moyen de sociabilité
La presse est pourvoyeuse,
privilégiée des nouvelles. A ce titre elle favorise l'invention et l'insertion
de l'individu dans son groupe. Elle lui donne les instruments et lui prévient
de l'avenir. Ce rôle se confond avec celle de la fonction officielle de la
presse. Dispenser l'information,
les événements rapportés par le journal permet et symbolisent l'appartenance de
chacun à son groupe. Comme le notera plus tard BARELSON l'homme d'aujourd'hui
sait ce qui se passe autour de lui ; grâce à la presse et aux médias, il
acquiert même le sentiment d'être dans un secret ou dans un coup, et il en tire
nécessairement un prestige accru, nous pouvons souligner le rôle du carnet du
jour. Elle est une guide sociale de la vie.
Nous devons le reconnaitre
que ce n'est pas seulement le souci d'être informé que le public se met souvent
à écouter des nouvelles, car les émissions d'information n'évitent pas les
répétitions. Mais les auditeurs veulent en permanence garder un contact avec
leur communauté d'appartenance, confuses, ils restent la nécessité d'attester
ainsi d'intérêt qu'ils lui apportent.
ü La presse comme recréation
La radio, le cinéma ou le théâtre sont admis
de plein droit dans le monde des loisirs modernes. Mais on oublie souvent la
fonction de recréation assumée par la presse écrite. C'est pourtant le public
lui-même qui affirme tenir la lecture du journal pour une activité de loisir,
les abstentionnistes l'avouent lorsqu'ils invoquent le manque de temps. Ils
sous-entendent en effet que la lecture du journal est une activité subsidiaire
sinon futile. En outre, le moment choisi pour la lecture du journal correspond
très souvent avec des moments de repos : ceux qui précèdent ou suivent
immédiatement les repos, à moins qu'il ne s'agisse plus simplement de la
soirée.
Bien plus, la lecture du journal n'est
recherchée comme une distraction aussi bien dans les transports que dans les
salles d'attente. Les responsables des journaux peuvent ne pas répondre à cette
attente du public. Ils multiplient les rubriques concernant la vie des loisirs.
Bref parlons un peu de quelques rôles,
donc les rôles des médias sont multiples. J'ai choisi d'utiliser les
quatre rôles proposés par Kaarla Nordenstreng soit la collaboration, la
surveillance, le rôle de facilitateur et de critique.
1) Collaboration
Les médias jouent ce rôle lorsque la nation est jeune et insécurisée (temps de
guerre ou état d'urgence par exemple). Ils permettent un échange dans l'espace
publique entre les différents agents étatiques et sociaux. Cet échange est
possible seulement si la population a accès aux médias. Cependant, les médias
peuvent jouer un rôle de formation politique important dans le pays ; « les
médias, en coordination avec les autres instances de régulation et d'autorégulation
constituent une voie incontournable d'éducation, de formation (de l'opinion) et
d'information de la population
2) Surveillance
Ce rôle fait référence à l'idée généralisée que « les médias jouent un rôle
dans la démocratisation car ils sont le quatrième pouvoir et ont un rôle « AWA
», c'est-à-dire adversary, watchdog et agenda-setter . Les médias ont le devoir
de décrier les violations de l'ordre moral et social et d'attirer l'attention
sur des enjeux importants communautés. Cependant, «
dénoncer, exercer la fonction indépendante et critique est certes une mission
de la presse mais cette dernière devra accepter aussi à son tour d'être critiquée
». Si le rôle des médias est de surveiller et dénoncer les situations de
corruption, ils peuvent aider à la solidification du système démocratique par
la même occasion. Avec une plus grande liberté, les médias de masse peuvent
jouer leur rôle de surveillance afin de décourager et contrer la corruption. Les
conflits ont nourri le besoin d'information des populations locales. Ce qui est
intéressant, c'est que la prolifération des médias s'est produite lors de la
transition et des élections, mais que ces mêmes médias ne survivent pas à la
suite de ces moments clé dans la période post conflit en RDC. Ce sont pourtant
des moments décisifs où la presse peut jouer un rôle de surveillance afin que
l'État fragile ne retombe pas dans une situation d'instabilité.
3) Facilitateur
Lorsque les journalistes veulent créer et soutenir un débat dans l'espace
public, ils jouent leur rôle de facilitateur ou médiateur. Il s'agit de
l'essence même du mouvement du journalisme public et civique. Les médias
doivent par ce rôle affirme Nkingi développer une culture de la tolérance. Pour
favoriser l'acceptation de l'autre, aucun triomphalisme offensant ne doit être
accepté, et les perdants doivent accepter les résultats. En République
démocratique du Congo, la radio Okapi a largement joué ce rôle depuis sa création
en donnant la parole aux populations locales.
4) Critique
Les
médias doivent examiner et critiquer les gouvernements au pouvoir, les
institutions étatiques afin de s'assurer d'une bonne gouvernance.
Les médias ont pour rôle d'informer le public sur les problèmes domestiques et
internationaux. Wolfsled souligne « l'importance de la présence d'un grand
nombre de médias alternatifs qui permet aux journalistes de consulter une
variée de sources d'information et augmente leur habilité d'analyser le système
politique domestique.» Bref, les médias ont plusieurs rôles à jouer afin de
veiller au bien commun en collaborant, surveillant, facilitant et critiquant
les gouvernements.
Les médias peuvent non seulement aider à trouver un compromis mais également
renforcer les positions les plus extrémistes qui peuvent mener à des actions
violentes.
Permettre une liberté de presse complète dans un État fragile peut être un lieu
propice pour la naissance de médias de haine. Wolfsled va dans le même sens
lorsqu'il explique que lorsqu'il y a « des tensions et divisions importantes au
sein d'une société, les médias vont mettre l'accent sur ces différences et
peuvent marginaliser ceux qui sont en désaccord avec le courant de pensée
populaire. S'il est certain qu'un journaliste professionnel, respectueux des
règles d'équilibre de l'information, ainsi que celle de la vérification et de
recoupement des sources, peut aider à apaiser des tensions souvent entachées
d'incompréhension et sous information entre acteurs, une question se pose : «
le journaliste peut-il ou doit-il aller loin en orientant volontairement sa
pratique professionnelle vers une démarche de soutien aux initiatives de
paix ; Malgré cette volonté que pouvait manifester un professionnel dans
l'orientation de son travail.
2.1.
Historique et dénomination des quelques medias de Goma
Medias
|
Localisation
|
Historique
|
|
La RTGB est située en République
Démocratique du Congo, dans la Province du Nord-Kivu précisément dans la
ville de Goma, dans la Commune de KARISIMBI au quartier Virunga sur le
boulevard Nyiragongo au numéro 126.
-
Au Nord est limitée par la route qui
mène vers station Mutinga
-
Au Sud par le Marché VIRUNGA
-
A l’Est par l’hôpital CBCA VIRUNGA
-
A l’Ouest par l’hôpital CBCA Virunga
Statut
juridique
La RTGB est une radio communautaire qui
appartient à une association sans but lucratif (asbl) dénommée GRABEN
|
La RTGB a été créée en 2003 à Beni mais
dans la ville de Goma, la RTGB a commencé à diffuser le 22 décembre 2010, à
la station Victoire aux trois paillotes. En 2013 au mois de Novembre, elle a
déménagée pour aller s’installer sur l’avenue Kinshasa au numéro 66
dans le quartier Mabanga Sud.
La Radio est tombée en panne au mois de
Décembre 2013. Sa réparation a durée d’une année ; la radio n’était pas
fonctionnelle en 2014. La RTGB GOMA est une extension de la RTGB Beni, son
siège social se trouve à Beni.
A Goma, la RTGB a diffusé la première fois
sur 98.0 FM avant la 91.0FM et actuellement la 103.0MhZ.
|
|
La radio kivu1 se trouve dans la ville de
Goma commune de KARISIMBI quartier les
volcans dans le bâtiment Jean-Pierre BISHWEKA
Avec objectifs d’informer la population, éduquer à
travers ses informations diffusées après un quart d’heure avec un système
d’une radio a regardée et la télévision à écoutée
|
La radio KIVU 1 ‘est
une radio privée, indépendante d’information
générale en continue manque dans la province. Le contact entre gouvernants et
gouvernés par voix des médias est inexistant. son directeur général et
fondateur de la radio c’est monsieur MAGLOIRE PALUKU, la radio kivu1 Inciter
un professionnalisme dans le métier au niveau provincial en travaillant 7
heures par jour.
Une radio qui se veut
« Le relais » entre la population et ses autorités.
Production des émissions et magazines
pour une formation, l’éducation et le divertissement est à redéfinir dans les
maisons des radios.
|
|
LA RTCT se trouve à Goma en province du
Nord-Kivu, Q. les volcans, AV .présidentielle, N°13 EN RDC.
La RTCT est limitée :
-
Au nord : par le rond-point de
l’Espoir
-
Au sud : par l’école belge
-
A l’Est :bcc
-
Ouest : par Q.mapendo
La RTCT appartient à l’ONG TCCB reconnu
officiellement par le décret présidentiel N° 06/0106 du 12 JUIN 2016.
OBJECTIFS :
ü Former
et informer ma population sur l’environnement,
ü transformer
les informations et les communiqués aux auditeurs
ü promouvoir
la santé communauté pour les biens être de la population, animer sur le
développement, livrer les informations globale.
|
LA RTCT appartient à UTCCB (tayna center
for conservation Biogi) dans son programme
d’éducation et de développement, le TCCB est créé en 2004. La
RTCT celle-ci fonctionnait avec une
seul station de KASUGHO ou le premier
signal a été émis le 06/09/2004 la radio fonctionnait avec la fréquence de
102.0MHZ accorder par le service public de l’OCPT pour l’iniateur l’idée
était de mettre en œuvre un laboratoire pour ses étudiants de science de la
communication déjà au TCCB et d’accompagner par la sensibilisation de masse
les efforts de la conservation d’employé par RGT(réserve de gorille de Tayna)
l’iniative à rencontrer les préoccupations de la populations de son rayon
d’action (KASUGHO BINGI TAYNA
MANGURUJIPA KITWA BUSHISHA,MAVUNGU) toutes les Localités repartaient
aux chefferies de bamate et batangi qui trouvent en cette radio un moyen de
communication et d’expression de toutes personnes même le moins enthousiaste
de la société.
EN 2009, le conseil d’administration TCCB
décide d’étendre les activités de la RTCT dans ville de OMA est un carrefour des aires
protégées par national Virunga de kahuzibiega, la dizaine de réserve
communautaire est rendu par l’UGADEC et exercent une certaine pression .
Il est de ce fait impérieux que les
habitants de cette ville reçoivent une éducation environnement .en 2010 les
ambitions d’exploiter ont été réalisé un émetteur TV a été installé protégé
et les premières images sont apparues le 25 juin 2010
|
|
HOPE CHANNEL Se trouve en Afrique dans la partie Est de
la RDC En province du NORD KIVU, ville
de GOMA, commune de KARISIMBI, Q.MURARA ; elle émet sur la bande VHF à
la fréquence de 190.28 MHZ, HOPE CHANNEL a entamé ses activités avec la
télévision.
Ø Missions
de HC : comme d’autres medias HC
à une mission d’informer, divertir et enseigner le public pas seulement de
GOMA de ruthuru , masisi et pourquoi de GISENYI de l’ouest du Rwanda.
Spécifiquement de donner l’espoir aux
population surtout celles de l’Est de la RDC en leur offrant un espace de
communication interactive partant de contexte de crises multiples qui ont
secoué la partie EST de la RDC,HC se joint à celle-ci pour donner de l’espoir
dans des populations meurtries par les offres de la guerre.
|
HOPE CHANNEL TV lance son signale le 30
juin 2012 Hope chanel tv est un projet
de la fondation KAS dont c’est le premier projet dirigé par Deo KASIBAGUIZA
DG de HOPE CHANNEL TV, cette chaine de
télévision commence dans le bâtiment de l’hôtel RUSINE en octobre 2012
Actuellement longe dans le bâtiment 3 ETOILES. Cette chaine ne date pas
longtemps elle est une télévision nouvellement créée dans la ville de GOMA
elle est l’ouvre de Monsieur Theo KASI qui est un bienfaiteur et fils du
terroir ayant compris le besoin de la population être informé et être
rapproché de se gouvernants.
HOPE CHANNEL commence d’abord par la
formation des agents à partir du mois de février jusqu’au mois de 2012 elle
émet depuis le 30 juin l’ouverture officielle.
|
|
La vbr œuvre en RDC dans la province du
Nord Kivu, ville de Goma, commune de KARISIMBI au numéro n°1 avenue BISHWEKA
Vanny dans l’immeuble IHUSI.
Objectifs :
·
Promouvoir les affaires et activités
de développement dans le cadre de l’intégration régionale du pays des grands
lacs,
·
Servir de hait d’union entre les
opérateurs économiques de la région de
grands lacs,
·
Et puis informer, former, éduquer, et
divertir.
|
VBR
FM est une radio privée commerciale créée en 2010 a ses débuts à part le
directeur général elle comptait 7 journalistes avec un personnel de 17 membres.
Le
promoteur de vbr Fm est monsieur Thomas KUBUYA , notons que vbr est une
branche de Kivu business tours agency ,une agence de vente des services
spécialisés dans la publicité et marketing ,le voyage et l’écotourisme ainsi
que les nettoyages et louage du personnel.
Apres 3ans d’existence le besoins d’avoir
une radio d’abord puis plus tard une télévision s’est fait sentir ces outils
indispensables devant servir à renforcer la section publicités et mase de
l’entreprise c’est dans ce contexte que le profit de la station radio et la
télévision est né
|
|
L’organe de presse MISHAPI VOICE TV est
situé en RDC province du Nord KIVU,
ville de Goma, commune de KARISIMBI, Q.MURARA sur l’avenue du coopératif
N°45, le groupe à des objectifs :
·
Global : le groupe mishapi se
veut une vision dans le monde, cela veut tout simplement dire montrer à
travers ces programmes l’image de l’Afrique aux jeux du monde.
·
Spécifique :
-
Contribuer au développement du pays
par l’octroi de l’emploi à une jeunesse des ouvrées
-
Faire de l’information une donnée
pertinente, susceptible d’inciter l’autorité publique à prendre ou modifier
une décision
-
Favoriser la paix et la cohabitation.
-
Et puis comme d’autres medias,
informer, former, éduquer, et divertir.
|
En
octobre 2010, l’initiative de création
de cette entreprise de presse nait de
Monsieur Adelard MINENE qui décide au même mois de la même année d’implanter
une station radio émettant sur onde FM à la 104.5MHZ, Sept mois seulement
plus tard le promoteur précité dote
MISHAPI VOICE TV d’une nouvelle
entité une chaine de télévision aujourd’hui l’unique qui émet sur bande VHF
qui se conforme à la mutation de l’analogie au numérique à l’horizon 2020.
Au
départ locataire MISHAPI VOICE TV a su vite se doter de ses propres
locaux par l’entreprise de son
initiateur Mr adellard MINENE pierre implanté dans un contexte post conflit
cet outil de communication aura pour mission principale rapprochement des peuples , la
cohabitation pacifique par l’octroi des espaces d’expression à tous les
protagonistes aux conflits afin de les inciter à concilier les nouvelles qui
les opposaient.
En
2012 au lendemain des élections de
novembre le groupe de presse mishapi est plébiscité première chaine
d’information à l’Est du Congo par canal France internationale pour l’acter
action de ses programmes (informations, émissions, interactive, micro,
programme de proximité, divertissement) cette série de programme de
plébiscité sera corroboré par l’institut PANOS PARIS, UJADEPE RICA, USUJA, pour ne citer
que ces organisations.
Le
groupe de presse mishapi dispose d’un forte de couverture avec des sous
station à KINSHASA, BUKAVU, KINDU, KISANGANI dont les rédactions et services
commerciaux dépend directement de l’administration directeur général.
La
chaine a connu une ascension grâce à un personnel des journalistes qualifié
qui ont su maintenir le positionnement de mishapi Voice Tv en dépit de la qui ont su maintenir
le positionnement.
L’initiateur
du groupe mishapi a suivi le parcours ci-après : le groupe de mishapi
est une entreprise privée à caractère commercial né de l’initiative de son
promoteur dont les initiales des noms ont grandement contribué à l’appellation de MISHAPI il
s’agit de monsieur adellard MINENE
SHANYAGABO PIERRE père en tant que
fondateur il est l’administrateur directeur General de l’entreprise.
Le
problème de guerre intensive , la crise économique rongeant l’Est de la RDC
ont plus motivé le promoteur à mettre au service de la population outil de la
communication qui contribuerait à l’éclosion socio-économique de peules à la
promotion de la paix à la culture de la démocratie ainsi qu’à l’émancipation
des populations opprimées , bref transformer l’image de la RDC et du
Nord-Kivu en particulier.
|
Avoir parcourue dans toutes ces radios de Goma on a constaté
que chaque radio est suivie selon le programme de chacune, coté information on
a vu que la radio privée kivu1 est la radio la plus suivie et écoutée avec
leurs chaine de télévision, coté divertissement la radio tayna elle est la
radio beaucoup plus suivie.
Dans ce deuxième chapitre
c’était une question pour nous de détailler les dénominations et l’historique
de quelques radios de la ville de Goma, ainsi que leurs objectifs.
Bernard
Miège, « l'imposition d'un syntagme : La société de
l'information